Étire ta langue

Poésies et pensées vagabondes


Dans le palais de mon père, extrait 56

La personnalité est comme une pelote de laquelle tirer un bout de fil ne sortirait qu’un mètre, et il faudrait recommencer à l’infini avant d’en voir le bout.

Non, il n’y a pas qu’un seul observateur et un seul objet, l’illusion est subtile, mais un tas de « chacun » que l’on croit regroupés.

Là est je pense un des résultats magnifique du travail, c’est qu’il ramène à une simplicité de la « personna » par disparition progressive de tous ces personnages que notre esprit a appris à mettre en scène depuis notre toute petite enfance.

Ainsi, on peut recenser dans la liste de tous ces personnages qui nous composent, même des héros de séries télévisées, ou de romans de jeunesse, voire aussi des individus que l’on admire et que l’on a plus ou moins intégrés à notre personnalité.



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